LETTRE AU PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

PRÉSENTATION

L’article précédent était consacré à la lettre à Mme Macron, en ses doubles qualités de Première Dame et de mère.

La lettre au président en est la version plus politique, au sens international du mot, puisque, Christina étant aussi française que russe, son cas est structurellement une affaire internationale.

Cela explique que la lettre au président français débute par un appel aux deux présidents, français et russe.

LA LETTRE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Monsieur le Président,

Nous nous adressons à vous en recours ultime et urgent pour nous aider à sauver en l’adoptant Christina, ma nièce et filleule, actuellement retenue en Sibérie par un « kidnapping légalisé » et soumise à une intense maltraitance psychologique.

D’une manière très concise, à destinée médiatique, et forcément incisive, puisque c’est la loi du genre, nous avons résumé notre appel aux lignes suivantes par lesquelles, en fonction du sujet nous devons associer le président Vladimir Poutine.

APPEL SOLENNEL ET URGENT AUX DEUX PRÉSIDENTS : EMMANUEL MACRON ET VLADIMIR POUTINE, CONCERNANT CHRISTINA SION, POUR SON ADOPTION

Monsieur le Président Emmanuel Macron,

Monsieur le Président Vladimir Poutine,

Vous avez chacun le pouvoir suprême, vous vous rencontrez pour traiter des grands problèmes du monde, et c’est très bien.

Aujourd’hui, en sollicitant votre aide et votre action urgente nous vous offrons le rôle le plus noble parce que le plus humain : sauver une des plus faibles et des plus menacées de vos concitoyens, une petite fille de presque dix ans, Christina SION, notre nièce et filleule. Christina est française par son père, russe par sa mère.

En 2013, la mère, Dina Sysoeva a assassiné  Christophe, son père  et a inclus Christina dans son crime. Ainsi elle réalisait un double assassinat, celui de la vie d’un père,  et celui de l’enfance de leur fille. Maintenant, le clan Sysoev retient  et maltraite Christina grâce à un « kidnapping légalisé ». Pour la sauver il faut en urgence l’en extraire, pour que nous l’adoptions et l’aidions à reconstruire sa vie.

 Monsieur le Président Emmanuel Macron,

Pour aider Christina, tous les dossiers nécessaires sont déjà dans les tiroirs du ministère des Affaires étrangères, et dans ceux de la cellule d’aide diplomatique spécialisée pour la Russie.

Nous vous prions de nous écouter, de prendre en compte tous les détails et les preuves que nous avons. Écoutez notre équipe diplomatique en Russie, Madame l’Ambassadrice, Monsieur le Consul général, Monsieur le Magistrat de liaison. Eux, ils savent, et ils se heurtent à  un mur… ou plus d’un !

Écoutez la Première Dame, dans son rôle, dans ses sentiments maternels.

 Monsieur le Président Vladimir Poutine (Глубокоуважаемый Владимир Владимирович)

Nous ne venons pas vers vous en quémandeurs agressifs mais en amis de la grande Fédération de Russie. Tous nos amis russes et français le savent.

Vous avez le pouvoir de faire cesser le « kidnapping légalisé » par lequel notre nièce Christina est aux mains du petit groupe qui soutient l’assassin de son père et la maintient en grande détresse psychologique.

Par pitié, ne tolérez pas les défaillances intéressées du service de tutelle de Khabarovsk !

Ne tolérez pas l’ignominie du jugement d’appel de Khabarovsk par lequel un juge complaisant a restitué des droits « maternels » à celle qui a violé l’enfance de sa fille !

Ne laissez pas quelques dévoyés entacher la réputation de votre grand pays !

Écoutez les réactions du peuple russe. Il a compris, il sait !

Sauvez Christina ! Laissez-nous l’adopter et la mener vers la vie renouvelée.

Je suis sa marraine. J’ai reçu pour cette adoption la bénédiction de l’archiprêtre de la cathédrale Saint-Vladimir où elle a été baptisée. Elle n’a pas de parrain. Devenez moralement le sien.

Aux deux Présidents, nous présentons humblement cette requête, avec nos respects sincères et profonds. Voyez en Christina le symbole de l’amitié de nos deux pays.

DANS LA SUITE DE CE DOCUMENT, NOUS DÉPASSERIONS LE CADRE TROP LIMITÉ DES 8000 CARACTÈRES

Nous ne vous présentons donc que les bases de travail, ayant placé un document très explicatif sur le site de la Première Dame, que nous vous invitons à prendre en compte.

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

Pourquoi vouloir adopter Christina ? Parce sa mère (Dina Sysoeva) a tué son père (Christophe Sion, mon frère) en août 2013 à Saint-Pétersbourg.

Christina est autant française que russe. Elle aura 10 ans le 13 novembre 2019.

Qui la retient ? Le clan « familial » russe, centré sur la personne de Faïna Sysoeva, grand-mère et tutrice « légale » de Christina. Ce clan est organisé et intéressé par et pour l’héritage de Christina.

Où la retiennent-ils ? À Khabarovsk, en Sibérie orientale, où le clan Sysoev a son domicile et ses relais. Christina, vit avec la grand-mère (qui transmet à Christina toute la haine qu’elle portait déjà à Christophe et à nous). Mais elle vit aussi avec le grand-père dont le triste rôle sera détaillé plus loin.

Comment la retiennent-ils et bloquent-ils l’adoption ? Par une corruption systématique du service de tutelle en Sibérie et d’un juge d’appel qui a restitué ses « droits maternels » à la mère « biologique » de Christina, Dina Sysoeva, l’assassin de son père.

Pourquoi nous adressons-nous à vous ? Parce qu’une raison de forme légale nous empêche de porter l’affaire en cassation. Parce qu’un juge honnête de Khabarovsk (celui qui avait destitué Dina de ses droits maternels) a porté l’affaire au parquet général de Moscou, et que celui-ci ne bouge pas.

Mais aussi parce que les services de notre ambassade à Moscou se « heurtent à un mur », qu’ils sont prêts à fournir toutes les informations nécessaires, s’étant rendus à Khabarovsk et ayant directement constaté les « dysfonctionnements partiaux » du service de tutelle.

Mais encore, parce que la sourde oreille du service d’aide diplomatique de l’Élysée nous impose de tenter les extrêmes recours, dont le vôtre, élément sans lequel nous n’aurions jamais voulu vous déranger.

Pourquoi maintenant ? Parce que nous venons tout récemment de recevoir le document d’appel et ses attendus, dont la lecture démonte et démontre l’indignité corrompue de ses participants.

Que demandons-nous ?

  • Que Christina soit extraite en urgence du clan Sysoev, psychologiquement maltraitant, et capable du pire
  • Qu’elle soit placée temporairement dans une famille d’accueil volontaire et véritablement accueillante en Russie (deux familles sont déjà volontaires)
  • Que le jugement indigne de Khabarovsk restituant les droits maternels à l’assassin soit cassé en urgence
  • Que nous reprenions le cours légal de l’adoption pour lequel notre dossier est validé en France et en Russie.

NOTRE ACTION RÉCENTE

Bien entendu nous vous transmettrons, ainsi qu’au président Poutine, autant que de besoin, les pièces fondamentales du dossier.

Notre site intitulé Sauvons Christina, précise les détails. De plus, nous espérons que l’action médiatique menée par ailleurs (dont la toute récente émission « Enquêtes criminelles » sur W9) aidera à une action concertée au plus haut et meilleur niveau possible.

Nous osons penser Christina, non comme un enjeu politique, mais  comme un symbole vivant de l’amitié entre nos deux peuples, car nous recevons d’eux les messages de compréhension et de soutien.

Nous espérons que vous comprendrez et soutiendrez notre démarche, et vous prions de croire, Monsieur le Président, à nos sincères et respectueuses salutations

 

Barbara Sion Caggini

Pierre Caggini

 

LETTRE À MADAME MACRON

COMMENT ENVOYER UN COURRIEL SUR LE SITE PRÉSIDENTIEL

Hier, nous avons envoyé un courriel à Mme Macron sur le site de l’Élysée, dont voici l’adresse :

https://www.elysee.fr/ecrire-au-president-de-la-republique/

C’est très simple, il suffit de se présenter (la moindre des choses). Dans la suite des cases à remplir il vous est demandé si vous souhaitez vous adresser au président ou à son épouse.

Attention : la case réservée à la correspondance est limitée à 8000 caractères. Remarque importante pour les longs textes : le compte est bien différent de celui de mon traitement de texte Word. Toutefois, une information est présentée si vous approchez des 8000 caractères fatidiques. C’est bien.

POURQUOI ENVOYER UN COURRIEL AU NIVEAU PRÉSIDENTIEL ?

Nous n’aurions jamais osé déranger le président, si la  justice russe avait fait son travail. Longuement — trop longuement, certes — mais, son travail. Se serait-il agi d’une question triviale (héritage par exemple) nous serions restés dans l’ombre.

Mais la vie, la survie de Christina (petite fille française, n’oublions pas),  mérite la pleine lumière. Alors, lorsque des citoyens ordinairement tranquilles comme vous et nous sont désemparés, vers qui se tourner sinon vers le peuple (accessible par des médias plus puissants que notre petit blog) et vers le plus puissant des citoyens, le président.

POURQUOI UN COURRIEL À MADAME MACRON ?

La fonction de Première Dame est certainement délicate, à tous les sens du terme. Certes, elle n’est pas “le pouvoir”, mais elle n’en est pas dépourvue, car, techniquement parlant, elle est une conseillère spéciale, merveilleusement placée pour faire entendre une voix féminine. De plus, elle a rempli des fonctions d’enseignement pour de jeunes élèves. Et l’on ne peut pas pratiquer ce merveilleux métier (hommage à mes maîtres des petites classes) si l’on n’aime pas les enfants. Alors…

LETTRE À MADAME MACRON DE LA PART DE BARBARA

Madame,

Je m’adresse à vous, ainsi que mon mari, au double titre de Première Dame, et, non moins important, de mère. Il nous faut sauver et adopter Christina, ma nièce et filleule, actuellement retenue en Sibérie par un « kidnapping légalisé », soumise à une intense maltraitance psychologique.

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

Pourquoi adopter Christina ? Car sa mère (Dina Sysoeva) a tué son père (Christophe Sion, mon frère) en août 2013 à Saint-Pétersbourg.

Christina est autant française que russe. Elle aura 10 ans le 13 novembre 2019.

Qui la retient ? Le clan « familial » russe, centré sur Faïna Sysoeva, grand-mère et tutrice de Christina. Ce clan est organisé et intéressé par et pour l’héritage de Christina.

Où la retiennent-ils ? À Khabarovsk, Sibérie orientale, où le clan Sysoev a son domicile et ses relais. Christina, vit avec la grand-mère qui lui retransmet la haine qu’elle portait déjà à notre famille. Elle vit aussi avec le grand-père (son triste rôle sera détaillé plus loin).

Comment bloquent-ils l’adoption ? Par une corruption systématique du service de tutelle en Sibérie et d’un juge d’appel qui a restitué ses droits maternels à la mère biologique de Christina, Dina Sysoeva, l’assassin de son père.

Pourquoi nous adresser à vous ? Parce que la forme légale nous empêche de porter l’affaire en cassation. Pourtant, un juge honnête de Khabarovsk (qui avait destitué Dina de ses droits maternels) a porté l’affaire au parquet général de Moscou, et celui-ci ne bouge pas.

Aussi parce que les services de notre ambassade à Moscou se « heurtent à un mur ». Ils sont prêts à fournir toutes les informations nécessaires, s’étant rendus à Khabarovsk et ayant directement constaté les dysfonctionnements partiaux du service de tutelle.

De plus, la sourde oreille du service d’aide diplomatique de l’Élysée nous impose de tenter les extrêmes recours, dont le vôtre, élément sans lequel nous n’aurions jamais voulu vous déranger.

Pourquoi maintenant ? Nous venons tout récemment de recevoir le document d’appel et ses attendus, dont la lecture démontre l’indigne corruption de ses participants.

Que demandons-nous ?

  • D’extraire en urgence Christina du clan Sysoev, psychologiquement maltraitant, et capable du pire
  • De la placer temporairement dans une famille d’accueil russe, volontaire et véritablement accueillante en Russie (deux familles sont déjà volontaires)
  • De casser en urgence le jugement indigne de Khabarovsk restituant les droits maternels à l’assassin
  • De reprendre le cours légal de l’adoption (notre dossier est validé en France et en Russie).

HISTOIRE DE CHRISTINA

En août 2013, Christina, fillette vive et en pleine santé, va sur ses quatre ans. Mon frère et moi nous contactons fréquemment, et, bien sûr, les discussions tournent autour de Christina.

Le 17 août 2013 est notre dernière communication. Il me dit que tout va bien.

Fin août, début septembre 2013, nous sommes au Canada, en famille, et perdons tout contact avec Christophe.

Le 20 août, Dina Sysoeva, la mère de Christina, assassine son papa Christophe dans l’appartement conjugal à Saint-Pétersbourg. Elle garde le corps en décomposition près d’une semaine. Christina était dans l’appartement. Elle en subit un très fort retentissement psychique (troubles du comportement, de la parole) dont il reste des traces aujourd’hui.

Le 28 août 2013, le père de Dina, arrive tout exprès de Khabarovsk  pour l’aider à démembrer, transporter, brûler dans une forêt de Pskov le corps de Christophe, et laisser les restes aux bêtes sauvages.

Le 8 septembre 2013, le vieux confident de la famille (M. Paul Dupuy) nous apprend qu’un malheur est très probable.

Dina reste injoignable, et des tentatives de connexions anormales sont notées par ma banque sur mon compte qui était géré par Christophe (c’était son métier).

Nous craignons le pire (assassinat, kidnapping de la famille, motif crapuleux banal, motif financier en raison de la fortune de Christophe, motif pédophile, etc.). Dès ce jour, Christina est au centre de nos inquiétudes.

En réalité, Dina est partie sur la Côte d’Azur chez son amant français (analyste financier), avec qui elle entretient une relation depuis 2008 au moins, relation transformée en adultère bien organisé, permanent, favorisé par sa mère Faïna, au point que celui-ci se « voit » en pseudo-père de Christina.

Le 16 octobre 2013, après des appels multiples de notre part, Dina « remet son Skype en fonction après une panne » (sic). Nous pouvons voir que Christina est vivante, mais agitée, ne parlant pas, criant. Ce n’est plus la petite fille adorable que je surveillais en jouant avec elle en mai 2013 lors de son dernier voyage à Paris.

Ce même jour, nous fondant sur les confidences de Paul Dupuy, nous savons que Dina ment, qu’elle est incluse dans la disparition de Christophe, sans discerner son rôle (victime, menacée, ou complice, ou…)

Pour garder le contact avec Christina nous poursuivrons cette relation, accumulant les éléments de ses mensonges, jusqu’en novembre 2014, date de l’arrestation de Dina par la police russe.

Au procès pénal, la haine et la cupidité de Dina se démasquent, ainsi que la présence constante de l’amant français, dont le rôle exact échappera aux polices française et russe.

Dina est condamnée le 25 avril 2016 pour assassinat, faux et usage de faux, vol d’une grosse somme d’argent du compte de Christophe. Le procureur ayant demandé 20 ans, le juge, par un mécanisme « acrobatique » en arrive à 11 ans.

Mais pire :

  • Le grand-père, mari de Faïna, alcoolique chronique, dont on a vu le rôle de boucher de chair humaine, n’est entendu que comme « témoin » et sort plus libre qu’il n’y était entré !
  • La garde de Christina est donnée à la grand-mère, qui, dans le même jugement est considérée comme parjure devant le même tribunal !

Ensuite, alors que la destitution des droits maternels de l’assassin devait être automatique, nous subissons la valse-hésitation des procureurs de Saint-Pétersbourg, de Khabarovsk et d’Ivanovo (lieu de détention) ainsi que le silence du service de tutelle de Khabarovsk.

Par chance (momentanée, vite réprimée) une nouvelle employée du service de tutelle de Khabarovsk, découvrant le dossier, s’en indigne et porte l’affaire devant la justice, aboutissant à la déchéance des droits maternels. Mais cette action entraîne la fureur de la directrice, et la mise à l’écart de l’employée redevenant si docile, qu’au procès d’appel elle ne défend aucunement Christina.

ACTUALITÉ DE CHRISTINA

Il y a trois semaines, à Saint-Pétersbourg, nous avons été témoins horrifiés, une fois de plus, de la maltraitance psychologique extrême de la « grand-mère » envers Christina.

Ni mon mari, médecin, ni moi, infirmière, n’avions jamais vu, hormis cas de grande détresse neuro-végétative, un enfant si apeuré, au teint si terreux, aux gestes témoignant d’un tel malaise. Et malgré cela, en cachette, elle réussit à répondre à notre amour.

NOTRE ACTION RÉCENTE

Nous transmettrons aux deux présidents, et à vous-même, autant que de besoin, les pièces fondamentales du dossier.

Notre site Sauvons Christina, précise les détails. Nous espérons que l’action médiatique menée ailleurs (dont la toute récente émission « Enquêtes criminelles » sur W9) favorisera une action concertée au plus haut et meilleur niveau possible.

Nous osons penser Christina, non comme enjeu politique, mais  comme symbole vivant de l’amitié entre nos peuples, car nous recevons d’eux compréhension et soutien.

Nous espérons que vous comprendrez et soutiendrez notre démarche, comptant sur la spécificité de votre double statut, et vous prions de croire, Madame, à nos sincères et respectueuses salutations

Barbara Sion Caggini

Pierre Caggini