MIEUX QUE LES 500 MILLIONS DE LA BÉGUM

500 MILLIONS

500 MILLIONS

Cet intervalle dans la parution des articles s’est imposé pour éviter aux lecteurs quelques redondances. La réalité d’un assassinat, c’est aussi l’éternel recommencement de dossiers, des mises à jour, en quelque sorte un immense travail de secrétariat. De plus, il faut vivre, ne pas s’enfermer dans cette tombe entourée de la tourbe du clan Sysoev, amant français inclus. N’oublions jamais celui qui n’arrive pas à assumer son rôle trouble avant, pendant et après l’assassinat, avant pendant et après la naissance de Christina.

Bref, ce premier petit paragraphe sert de mise en forme, avant de pelleter le tas d’immondices déversés pour le clan Sysoev, par l’inénarrable Anissimov, maintenant promu avocat par quelque tour de passe bureaucratique. Ah ! Les mystères sibériens !

À VOS PELLES !

Vous êtes prêts ? À vos pelles !

D’abord, pourquoi ce titre : « Les 500 millions de la Bégum » ? Patience, vous comprendrez bientôt. Au moins, vous devinez qu’il s’agit d’argent… et d’argent qui pue.

Donc, par l’intermédiaire de la procurature du territoire de Khabarovsk, nous recevons une lettre d’information intéressante. Passons sur les détails récapitulatifs, et arrivons au passage objet de cet article :

« D’après les explications données par Anissimov I.O., avocat de Sysoeva F.V., en date du 23 septembre 2019, le département de la tutelle de Khabarovsk a été informé qu’une affaire civile est en cours d’examen en France dans le cadre d’une demande en justice déposée par l’autorité française de tutelle à l’encontre de Sion Barbara, qui, pendant longtemps, étant propriétaire et en disposant des biens de la fille, ne paie pas à cette dernière les intérêts s’élevant à 970 000 000 d’euros. »

En plus simple : Barbara serait accusée en France par un service de tutelle d’avoir volé 970 000 000 euros, qui seraient les intérêts du capital de Christophe !

D’abord, comme c’est gentil de nous en informer ! Notre vie manquait de piquant. Avoir à dépenser près d’un milliard d’euros d’intérêts que nous volons à Christina ! Avec un procès de plus sur le dos ! Comme la vie est exaltante ! Comme l’imagination est au pouvoir ! Enfin !

UN PEU DE LOGIQUE DANS CE MONDE DE BRUTES

Outre que le dit procès n’existe que dans la tête fumeuse d’Anissimov, nous sommes revenus au texte original en russe. Pas de doute, il a été lu et relu par nos avocats russes.

Nous avons même demandé à la traductrice officielle : deuxième confirmation, c’est bien de 970 000 000 euros qu’il s’agit. D’ailleurs, nous dit-elle, tout le bureau en a sursauté.

Alors, j’ai élaboré un petit calcul, « à la louche ». Une telle somme rapportant 5% correspondrait à un capital d’une vingtaine de milliards. Ne chipotez pas sur les centimes, s’il vous plaît !

La lecture des magazines spécialisés nous apprend que cette vingtaine de milliards aurait placé Christophe dans les quarante premières fortunes de France. Pas mal ! Enfin, ne rêvons pas, c’est loin de Bernard Arnaud (66,7 milliards), mais écrasant par rapport à Martin et Olivier Bouygues (3,2 milliards) et à Norbert Dentressangle dont vous voyez les camions sur les routes de France et de Navarre (1,2 milliard… bagatelle !)

Plus précisément, nous cousinons avec la famille Dassault (21,1 milliards d’euros).

Cela s’obtient en un clic sur Internet. [1]

Ah ! Comme on s’amuse au bureau du procureur du territoire de Khabarovsk ! Et comme on vérifie ses sources ! Et comme on ne s’étonne de rien ! Ou comme on… (censuré)

ENCORE UN PEU PLUS DE LOGIQUE

Dans l’émission d’Andréi Malakov de 2018, Christina était qualifiée de « petite fille au milliard (de roubles )», soit environ 13 millions d’euros. Une belle somme ! Surtout une belle envolée lyrique ! Fondée sur… une belle bulle de savon. Mais, l’inflation étant un outil monétaire bien connu, Anissimov ne s’en prive pas.

Enfin, si l’un de vous souhaite être dépanné de quelques millions, pour rembourser ses dettes, n’hésitez pas, demandez, envoyez votre RIB ! On vous servira. Un milliard, ce n’est jamais que 1000 millions, alors quelques-uns en plus ou en moins !

Pourtant, en dépit du document original, imaginons que l’erreur porte sur les monnaies. Reprenons ce presque milliard exprimé en roubles, comme le lançait le présentateur André Malakov. Nous retombons sur les 13 millions d’euros, déjà improbables. Mais ici, Anissimov parle d’intérêts. Le même calcul que précédemment porterait le capital correspondant à 260 millions d’euros. Encore un délire total !

QUE SIGNIFIE VRAIMENT CETTE INFLATION MAJUSCULE ?

Il n’est interdit à personne de délirer. Mais si tel n’est pas le cas, les raisons sont simples.

– La calomnie pure et simple. Nous ne la relèverons même pas. Autant vouloir transformer certains tribunaux de Khabarovsk en couvents de bonnes sœurs,

– Faire patienter les  personnes qui aident le clan Sysoev : l’attente de leurs « honoraires » même longue, sera d’autant plus récompensée ; autrement dit, tenter de faire cesser le bouillonnement dans le marigot,

– Mais, ce faisant, ils augmentent le risque sur la petite Christina, qui peut devenir une cible pour des équipes concurrentes… et tout cela pour rien !

ALORS LES 500 MILLIONS DE LA BÉGUM ?

Relisons Jules Verne. Un gros héritage, deux héritiers, deux pensées en lutte. L’une d’elle est assez monstrueuse. Ce n’est pas la française, c’est l’autre. Rien de nouveau en 2020.

À propos : à part les 500 millions de la Bégum, aucun des chiffres de cette page n’est vrai.

La seule vérité est que Christina en souffre, et que personne ne bouge.

 

 

[1] https://www.forbes.fr/classements/classement-forbes-2019-des-milliardaires-francais/?cn-reloaded=1

DE FOLLES VISITES DE FOLLES PERSONNES

EXPLICATIONS PRÉALABLES

L’article de ce jour s’inscrit dans l’actualité. C’est un saut temporel et qualitatif dans l’histoire de Christina, telle que nous la relatons, et telle qu’elle est développée vicieusement par les parasites qui l’encombrent, à savoir le clan Sysoev, famille et relations inclues.

Je vais à l’essentiel, évitant les détails de l’histoire, relatant les simples faits nécessaires à la compréhension. Mais, rassurez-vous, tout viendra en son temps !

Nous sommes depuis deux semaines à Saint-Pétersbourg. Christophe y avait acheté deux appartements. Le juge statuant sur la succession immobilière les a attribués à Barbara et Christina (respectivement héritières universelle et réservataire). Nous occupons depuis quelques mois le dernier appartement de Christophe, laissant le premier au clan Sysoev. En quelque sorte, un gentleman agreement, un accord tacite de statu quo.

Or, en arrivant, nos serrures avaient été changées, nous étions sans clef : le propriétaire à la porte !

Un serrurier a remis bon ordre à cela, mais en entrant, nous apercevons une caméra de surveillance bricolée. Intimité garantie ! Donc, je l’obstrue !

Et, pour faire bonne mesure, refusant de passer pour des moutons à tondre, nous leur rendons la pareille : nouvelles serrures à la porte du premier appartement de Christophe (où se trouve le même modèle de caméra bricolée). 

Fin du premier acte.

ARRIVÉE DE LA TROUPE

Le vendredi 11 octobre, nous apprenons par l’avocat local du clan Sysoev, Me An, qu’ils sont arrivés avec Christina pour avoir les clefs de l’appartement.

Situation légale simple : Christina a parfaitement le droit d’avoir les clefs de “ses” appartements (et non ceux de Faïna Vassilievna Sysoeva, sa tutrice).

PETIT DÉTOUR VERS LA RÉALITÉ BASIQUE

Mais situation réelle complexe, dans la mesure où nous avons affaire à des personnalités instables, vindicatives, agressives, portées par leur sentiments les plus bas, par leur haine pathologique, par leurs calomnies à notre égard, et par leur déni de la réalité : pour eux, nous sommes responsables du “malheur de Dina” (l’assassin dont ils nient l’assassinat), et nous voulons adopter Christina “pour son héritage”.  

En fait, pour quelque raison psychologique, ils ne savent que projeter sur nous leur propres turpitudes. Mais de cela, nous n’avons que faire, les laissant se salir dans leur boue.

CONFRONTATIONS

Nous allons remettre les clefs à Christina, vendredi soir. D’abord parce que c’est la loi, mais surtout pour voir la petite (ce que Faïna Vassilievna ne voulait pas).

Lundi matin, Faïna va se dévoiler — une fois de plus et encore plus — dans l’ampleur de son comportement inadapté : les cris, les mimiques, l’agitation, l’agressivité, au point que son avocat Me An, tente désespérément de la calmer. Mais une furie reste une furie. Je passe sur les détails.

Mieux — ou pire — elle reviendra  mardi soir, sans son avocat, mais avec son homme de main, Igor V. Anissimov. Un autre morceau d’anthologie : ils s’installent, veulent passer la nuit, rester jusqu’à vendredi, nous parlent d’un accord à signer… dont ils n’ont même pas préparé un papier ! Ils espéraient un esclandre, Igor hurle cela à 20 centimètres de mon visage, dix fois de suite. Au moins je peux sentir qu’il n’a même pas l’excuse d’être sous l’influence de l’alcool.

Nous sommes à deux doigts de l’embrasement de la situation. Igor hurle des injures contre notre avocate. Nous pourrions être menacés. Me Sologoub, ayant tenté de calmer la situation par téléphone, décide finalement d’appeler le consul, à toutes fins utiles. M. de Chavagnac, le consul général de France arrivera, et se trouvera confronté à une télévision locale qu’Igor a fait venir… comme par hasard.

Finalement, nous jouons la carte de ceux qui ne répondent plus. Faïna et Igor tiendront leurs conciliabules mensongers dans la cuisine. Ils partiront, la queue entre les jambes vers 2 heures du matin.

L’ESSENTIEL : CHRISTINA

Nous avons donc vu Christina deux fois.

Le vendredi soir, notre contact a été remarquable. Je n’en dirai rien d’autre, pour ne pas rajouter au danger qu’elle court, au contact de la haine de sa tutrice.

Le lundi matin, c’était affreux. Affolée par les cris, vociférations, attaques contre nous, la pauvre petite se cache dans un angle du couloir de l’immeuble. J’essaye de la réconforter. Peine perdue. L’autre, quasiment possédée par ses démons, la rappelle, continuant son film et ses mimiques d’agitée pathologique, même quand la petite s’enfuit dans les étages inférieurs.  Elle refuse même que Christina entre pour s’asseoir, boire un verre d’eau, un jus de fruit ! Une honte, une infamie d’une “grand-mère tutrice” à l’égard de celle qu’elle devrait protéger !

J’affirme et maintiendrai contre quiconque, que je n’ai jamais vu, de toute ma carrière médicale, un enfant aussi dangereusement apeuré. Elle se tordait les mains dans les poches de son imperméable, au point que les mouvements devenaient évidents, quasi convulsifs. Elle était grise, terreuse, d’un teint que je n’ai vu que dans des états d’extrême désordre neuro-végétatif, ou pré-agonique.

Voilà le résultat du comportement de celle qui se dit “grand-mère”, et qui, en plus, nous accuse de la situation ! Non, ce personnage n’est pas une grand-mère. ce n’en est que la caricature dramatique.

Je peux pardonner les offenses qui nous touchent. Mais à un enfant innocent, jamais !

CONCLUSION

1/ NOUS N’ABANDONNERONS JAMAIS CHRISTINA AUX MAINS DE CES FORCENÉS DANGEREUX POUR ELLE

Nous ne l’abandonnerons jamais :

  • Parce qu’elle est en grand danger
  • Parce que nous l’aimons, tout simplement

2/ MESSAGE SPÉCIFIQUE À L’ANALYSTE FINANCIER DE LA CÔTE D’AZUR

Vous vous dites “désintéressé” et “seulement préoccupé du sort de Christina”, puisque vous avez été de longue date l’amant de sa mère., et que vous entretenez encore des liens étroits avec ce groupe et avec Christina.

Vous nous avez dit que Christina y était mal, au point que vous deviez la soutenir. Alors, osez le dire publiquement ! Il vous reste encore une chance de vous désolidariser de ces monstres, de nous aider à sauver Christina, de ne pas devenir le complice fonctionnel de l’assassinat psychologique de cette enfant.

Nous espérons que vous vous êtes fourvoyé dans cette impasse. Sortez-en la tête haute, publiquement, pour Christina.