2041 JOURS… CHRISTINA SUR LE PARISIEN

Aujourd’hui, 23 mars 2019, 2041 jours ont passé depuis que mon frère Christophe a été assassiné par sa femme Dina Sysoeva. 2041 jours que cette « mère », par son geste ignoble, a choisi de satisfaire sa trahison, sa haine et sa cupidité contre le devoir de protection envers sa fille.  2041 jours de mort, mais, pour Christina, 2041 jours d’enfance volée, d’ innocence bafouée, de désir de vivre maltraité ! 2041 jours que le clan Sysoev et son greffon contre nature – l’amant français – exercent contre Christina leur maltraitance psychologique incessante, pourrissant ses souvenirs, lui imposant leur carapace de haine, de mensonges, de barbarie revendiquée ! 2041 jours qu’ils se complaisent tous dans leur abjection, aucun ne rachetant l’autre, ni le grand-père Victor, alcoolique invétéré, boucher dépeceur, profanateur des restes de mon frère… ni la grand-mère Faïna, refusant les aides psychologiques dont Christina a terriblement besoin, rigidifiée dans sa haine largement partagée et cultivée avec sa nièce Inna, embauchée à la curée depuis les USA où elle réside. 2041 jours sans l’ombre d’un regret mal esquissé – je ne parle même pas de remords, ils sont au-delà – 2041 jours de complicité à tous les niveaux, de connivence déversant sur nous leurs calomnies, comme autant de tombereaux de leurs ordures dans lesquels ils pourrissent, et pire que tous, enchaînent la petite Christina.

À leur façon, ils poursuivent tous le crime (motivations comprises) de l’assassin.

Mais aujourd’hui 23 mars 2019, est aussi le premier jour où nous recevons d’un grand journal français, Le Parisien, le support de la publication vers le grand public (tirage approchant les 230 000 exemplaires, et notoriété appréciée). Qu’il en soit largement remercié, et spécifiquement son journaliste Timothée Boutry, en qui nous avons trouvé écoute attentive et compréhension.

Quel sens prend cette émergence dans le monde de la presse ? C’est tout simplement celui de la vraie démocratie, lorsque certaines dérives de la « justice » ont montré autant leurs lenteurs préjudiciables à la victime que leurs limites suspectes. C’est le cas ici. Il faut que la réalité soit exprimée, fort et clair.

Nous aurions préféré pour Christina que la vraie justice celle qui existe malgré tout, celle pour laquelle œuvrent en Russie des personnes de bonne volonté s’impose sans délais ni traverses, avec le minimum de mise à la connaissance, et bientôt, l’oubli propice aux réparations de l’esprit.

Cela n’ayant pu aboutir, nous ne pouvons perdre une seule chance pour sauver Christina. Nous continuerons sur cette voie. D’autres médias s’y intéressent. La petite fille mérite et nécessite d’être considérée comme un enfant à sauver, et non comme un héritage à voler.

ENSEMBLE, SAUVONS CHRISTINA

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